Apocopes…
On en connaît, des journalistes qui aiment couper les cheveux en quatre. C’est d’ailleurs plutôt une qualité, pour un journaliste, que d’aller au fond de la question. Là où ça fait mal. En tout cas à celui qui est soumis à cette question. On en connaît, des journalistes qui aiment couper les cheveux en quatre. C’est d’ailleurs plutôt une qualité, pour un journaliste, que d’aller au fond de la question. Là où ça fait mal. En tout cas à celui qui est soumis à cette question. Ce devrait être – non? – l’essence même du métier. Qu’ils soient aimés ou pas, Pascal Décaillet sur Léman Bleu, Yves Calvi sur France 2 (Mots croisés), France 5 (C dans l’air) sont de cette trempe et de cette nature, trop rares au demeurant. S’il en est donc qui coupent les cheveux, voilà que d’autres désormais coupent les queues. Celles des mots, il s’entend: les journalistes sportifs de France Télévision, à l’occasion des Jeux olympiques londoniens, sont devenus les rois de l’apocope. (...)
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