Dès les premières semaines de la crise en avril 2020, le SER a interpellé les autorités à propos des difficultés diverses rencontrées par les élèves et les jeunes lors du confinement.
Par la suite et à plusieurs reprises, le SER a demandé que des ressources supplémentaires soient accordées pour aider les élèves rencontrant des difficultés au niveau scolaire. De même, le SER a fait part de son inquiétude vis-à-vis des jeunes rencontrant des difficultés psychologiques résultant de la crise.
Le SER a fait rapidement part des mêmes préoccupations lors de l’arrivée des premier·ères jeunes réfugié·es ukrainien·nes.
Ces difficultés scolaires, psychologiques et sociales mises en évidence lors de la pandémie ne s’effaceront pas du jour au lendemain. Elles risquent même de perdurer plusieurs années.
C’est pourquoi les délégué∙es du SER réunis à Chénens le 14 mai 2022 ont adopté un Appel demandant aux autorités cantonales et fédérales d’octroyer suffisamment de ressources supplémentaires et spécifiques ces prochaines années, afin d’offrir l’encadrement nécessaire aux élèves et aux jeunes en formation, ainsi qu’aux enfants et jeunes réfugié·es, pour leur permettre de surmonter les différentes difficultés rencontrées.