4/2018

Écrire pour (se) former

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L’écriture est inscrite dans le métier d’enseignant. Par la société, qui voit l’écriture et la lecture comme faisant corps avec l’enseignant. Ce qui a valu à celui-ci d’être qualifié d’intellectuel. Mais aussi par ce qui est observable par les élèves et leurs parents, ces écrits professionnels coutumiers: contrôle des présences, corrections, annotations des travaux, mise des points et des notes, commentaires dans les bulletins, annonces aux parents de sorties et manifestations. Et quand on pénètre dans une classe, par ce genre de traces: les écrits au tableau noir ou blanc, la présence de divers affichages. Des écrits normés, que l’on reconnaît immédiatement comme étant ceux du métier, comme le sont l’ordonnance du médecin ou le compte rendu d’un inspecteur du travail. Tous ces écrits émanent d’une écriture de l’enseignant ayant pour l’essentiel une fonction de communication. Mais dès que l’enseignant franchit l’heure de fin de cours, ce sont d’autres types d’écrits qui font la marque du métier avec les préparations de cours et le processus des corrections. Une écriture qui peut encore avoir une fonction essentiellement de communication.

Page 4) L’écriture: forge de la pédagogie

Page 7) Récits d’expèrience

Page 10) La formation au pays des merveilles

Page 12) Écrire pour se former? Étrange, non!

Page 15) Pour apprendre à dire nous